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Dans une heure, il quitterait ce point, emportant avec lui ce que la jolie voyance lui avait révélé, et toutefois, un doigt de ce sérénité intérieur qu’il croyait avoir perdu. Le chat s’étira longtemps évident de sauter sur une chaise voisine, signe que l’équilibre avait existé rétabli. La nuit n’était pas encore terminée, et déjà, quelque part dans la cité endormie, un autre visiteur ressentait cependant cet signal inexplicable, ce frisson qui le pousserait, lui de plus, à franchir la porte du salon d’Eulalie. La jolie voyance, infinie et insaisissable, continuait son œuvre, tissant son portée dans les âmes qui cherchaient à découvrir ce que l’univers murmurait à leur esgourde.